Modeled in the form of three laurel branches tied with a ribbon, these massive wall lights with their detailed chasing and burnishing reveal the extraordinary skill of their maker, François Thomas Germain, a silversmith to Louis XV, king of France. Each wall light is slightly different from the others.
Eight made in 1756 for the newly redecorated interiors of the famous Parisian palace, the Palais-Royal, which was the residence of the king's cousin, Louis-Philippe, duc d'Orléans. Shortly after inheriting the building in 1752, he commissioned the architect Pierre Contant d'Ivry to renovate the main rooms. Engravings of these rooms, showing the wall lights in place, were reproduced in Diderot's Encyclopédie, one of the principal works of the Age of Enlightenment. An inscription on the Getty Museum's drawing for one of these wall lights explains that it should hang above the fireplace.
The Louis XV style draws its inspiration from nature as recalled by the abundance of curves and patterns such as seashells, foliage or garlands. Also called 'rocaille', 'rococo' or 'pompadour' - it is charming, elegant, light and invites more to the relaxation and the distractions of the court than to the solemnity the functional objects. The functional objects are also decorative and intended to integrate harmoniously with the various rooms of the house.
If the most famous works of this period are in wood, Jacques Caffiéri, sculptor, founder and chaser of the king, left us extraordinary chandeliers and sconces including the Pompadour chandelier, a gift from King Louis XV to the Marquise de Pompadour which takes all the symbols of the occasion of their meeting, of their love as well as the three towers of the coat of arms of the Pompadour.
Modelées sous la forme de trois branches de laurier attachées par un ruban, ces appliques massives, avec leur ciselure et leur brunissage détaillés, révèlent l'extraordinaire habileté de leur fabricant, François Thomas Germain, orfèvre de Louis XV, roi de France. Chaque applique est légèrement différente des autres.
Huit ont été fabriquées en 1756 pour les intérieurs nouvellement redécorés du célèbre palais parisien, le Palais-Royal, qui était la résidence du cousin du roi, Louis-Philippe, duc d'Orléans. Peu après avoir hérité du bâtiment en 1752, il a chargé l'architecte Pierre Contant d'Ivry de rénover les pièces principales. Des gravures de ces pièces, montrant les appliques en place, ont été reproduites dans l'Encyclopédie de Diderot, l'un des principaux ouvrages du siècle des Lumières. Une inscription sur le dessin du Getty Museum pour l'une de ces appliques explique qu'elle doit être suspendue au-dessus de la cheminée.
Le style Louis XV puise son inspiration dans la nature comme le rappelle l'abondance de courbes et de motifs comme les coquillages, les feuillages ou les guirlandes. Aussi appelé « rocaille », « rococo » ou « pompadour » - c’est un style charmant, élégant, léger et invite plus à la détente et aux distractions de la cour qu'à la solennité les objets fonctionnels. Les objets fonctionnels sont également décoratifs et destinés à s'intégrer harmonieusement aux différentes pièces de la maison.
Si les oeuvres les plus connues de cette époque sont en bois, Jacques Caffiéri, sculpteur, fondeur et ciseleur du roi, nous a laissé des lustres et bras de lumières extraordinaires dont le lustre Pompadour, cadeau du roi Louis XV a la Marquise de Pompadour qui reprend les symboles de l’occasion de leur rencontre, de leur amour ainsi que les trois tours des armoiries de la Pompadour.